Le «Palais de l’Alhambra» à l’acropilum….by Farhat Bouallagui
Le violon dégage une mélodie très touchante, elle l’est d’autant plus quand elle est jouée par un virtuose.
Une atmosphère magique s’est installée à l’acropolium de Carthage samedi dernier.
Il parait que la qualité de son à l'acorpolium est tres mauvaise, mais je n’ai pas ressenti ca ce soir là.
J’étais subjuguée par le talent de Farhat Bouallagui… On ne sentait pas le temps passer, il naviguait d’un répertoire à l’autre.
Je sais, parce que j’en ai fait pendant deux ans, que le violon est l’un des instruments les plus difficiles. Je sais aussi que dès le début on doit faire un choix entre l’oriental et l’occidental, les cordes ne sont pas réglées sur les mêmes notes en fonction du répertoire… et Farhat était très a l’aise dans toutes les mélodies.
Il est très connu sur la scène internationale pour avoir joué aux cotés de Sting, de Bruel et pour avoir aidé Khaled et Faudel à leurs débuts ; et à l’entendre jouer je comprends parfaitement.
Ce que je ne comprends pas, c’est l’article que j’ai lu dans la presse du lundi, c’est comme si le journaliste qui a écrit l’article et moi n’avions pas assisté au même concert.
J’ai l’impression que certains journalistes critiquent gratuitement pour se prendre plus au sérieux. C’était vraiment excellent, et pour preuve il a eu droit une standing ovation d’un quart d’heure.
Autre plus, pour moi, il y avait tous les types de percussions (et j’adooooore); un des musiciens avait même à un moment utilisé une sorte de jarre pour sortir une musique indou… C’était vraiment parfait, les musiciens qui l’accompagnaient etaient aussi très à la hauteur.
Bravo Farahat !!!
PS: Je vous encourage vivement, si vous en avez l’occasion, à l’écouter.